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La reconnaissance faciale



Loin de moi l'idée de propager l'idée que Disney est une firme maléfique. Il est vrai que j'avais déjà écrit sur le fait qu'ils développaient un logiciel qui monte tout seul. Après tout, IBM a fait de même.

Mais aujourd'hui, Disney franchit un autre pas, en proposant un programme capable de lire les expressions faciales.

Appelé FVAEs (Factorised varational autoencoders), ce programme a été testé sur des personnes qui ont pris place dans une salle de cinéma de 400 places équipée de quatre caméras infrarouge. Ces caméras ont filmé le publique durant les projections de 9 films grand public, dont Le Livre de la Jungle, Les Nouveaux héros, Star Wars : Le Réveil de la Force et Zootopia.

Concrètement, le programme est capable de lire un visage et de décrypter les expressions, en comparant avec une base de données de 16 millions d’empreintes. Le programme est ainsi capable d'anticiper les réactions du public, et de s'assurer que vous ayez les réactions prévues, au moment voulu.

d'Avid à AE



Vous savez combien je suis adepte de la suite Adobe.

J'ai découvert récemment le workflow pour aller d'Avid à After Effects.

Je dois dire que de base, je ne suis pas un adepte d'Avid. Je l'ai appris durant mes études. J'ai peu pratiqué dessus. J'ai récemment dû m'y remettre, en allant travailler pour la télé. Ceci m'a forcé à envisager un nouveau workflow incluant Avid.

Par chance, Avid a mis en ligne un post pour les Adobe Users comme moi. L'info n'est pas récente, mais comme je l'ai appris récemment, je partage l'info, comme j'aime si bien le faire.



Le recyclage dans l'art



Au cours d'une carrière, un artiste, qu'il soit monteur, infographiste, réalisateur, musicien ou dramaturge, sera toujours confronté au refus. Pour une raison ou une autre, son travail ne sera pas retenu, et l'artiste devra ravaler sa fierté, se retrousser les manches et se remettre au travail afin de produire quelque chose de neuf.

Aussi, plus les années passent et plus il accumule les projets rejetés.

Amis artistes, n'en soyez pas amers pour autant. Il y a plusieurs choses importantes à apprendre, la principale étant de ne JAMAIS tomber amoureux de son travail.

Par exemple, voici un générique de début (non fini) que j'avais conçu pour la web série Comique Boulevard. Comme vous vous en doutez, ce générique a été rejeté. Il n'est pas mauvais en soi, il n'était simplement pas assez bon pour le réalisateur.


Au lieu de le jeter, j'aurai pu le garder et le transformer pour un prochain projet. Là, j'ai choisi de le partager avec vous. Il peut me servir de demo pour une agence. Il peut servir à exposer une idée lors d'une réunion. Allez savoir.

L'histoire à tous les niveaux



Bonjour à tous.

Le coup de gueule du jour concerne les nouveaux films faits sans aucun savoir faire, que ce soit au niveau de l'écriture, de la réalisation ou du montage.

Aujourd'hui, je voudrais vous parler d'une petite histoire qui m'est arrivée récemment. C'était un jour où je n'avais pas la forme. Donc, comme beaucoup, je me suis mis devant la télé, histoire de me vider la tête.

J'ai lancé Netflix, et choisi un film au hasard, sans réfléchir.

Et bien, sans le vouloir, j'ai eu à réfléchir.

J'ai commencé par Priest, film de SF de Scott Stewart sorti en 2011.

Au bout d'un quart d'heure, j'ai arrêté le film, tellement je l'ai trouvé mauvais (et pourtant, je suis très bon public). Ce que j'attends d'un film, c'est qu'il raconte une histoire avec un enjeu bien défini, et avec des personnages dont on comprend bien la personnalité. Peu importe le genre, peu importe que ce soit original ou stéréotypé. Mais il faut au minimum que ce soit lisible.

Là, j'avais l'impression d'avoir affaire à un film qui misait tout sur les effets de style (mise en scène et montage). On a une pauvre voix off pour expliquer le contexte. Et ensuite... Rien ! La caméra s'agite dans tous les sens, le montage enchaine les plans sans logique, sans raison... seul le rythme compte, les personnages sont inexistants, l'histoire incompréhensible, les dialogues ne sont même pas informatifs... Bref, ce film est une vraie cata.

Les films français les plus chers



Cette semaine, c'est la sortie de Valerian et la Cité des mille planètes de Luc Besson, adapté de la bande dessinée de Jean Claude Mézière et Pierre Christin.

Le film, qui est une production 100% française, est déjà connu comme étant le plus cher du cinéma français, avec un coût de 197,47 millions d'euro selon le bilan 2016 de la production cinématographique française publié par le CNC.

Quels sont les autres films français les plus cher? Voyons les dix plus grosses production française (et l'occasion de se rendre compte que Luc Besson est un habitué de ce classement, avec pas moins de 5 films!).


Asterix aux jeux Olympiques (2008) de Frédéric Forestier et Thomas Langmann
Budget : 78 millions d'euros

L'homme qui avait prédit le succès de Star Wars



Cette semaine, c'est la sortie de Rogue One, a star wars story, premier film spin off de l'univers Star Wars au cinéma, trente neuf ans après la sortie au cinéma du premier film de la saga.

Il y a beaucoup de choses qui ont déjà été dites sur l'univers Star Wars dans son ensemble. Pourtant, il y a une information très importante qui est restée très discrète depuis la sortie du premier épisode en 1977, quand le film s'appelait encore La guerre des étoiles (plus personne n'utilise ce titre désormais).

A l'époque, même si tout le monde espérait un succès, personne ne pouvait prédire le raz de marée que fut ce film sur la pop culture, transformant le film en véritable phénomène de société et ouvrant la voie à une multitude de produits dérivés qui allaient étendre l'univers bien au delà du film.

Et pourtant. En 1976, six mois avant la sortie du film, un homme a vu tout le potentiel commercial du film. Dans une note retrouvée sur starwars.com, on apprend que Peter S. Meyers, à l'époque vice-président de la distribution américaine de la 20th Century FOX, appelait ses employés à mettre les gros moyens pour "le meilleur film de tout les temps".

La fin du métier de monteur?



Il y a deux ans, j'écrivais sur l'avenir du monteur dans la création d'un film, avec le développement de programmes capables de monter tout seul.

Vous le redoutiez? IBM l'a fait! Avec son logiciel Watson, IBM a monté la bande annonce du film Morgan.

Morgan est un film de science fiction qui traite de l'intelligence artificielle. Rien de plus logique pour la Fox que de mettre an avant le fait que le montage soit fait par une intelligence artificielle. Cela rentre parfaitement dans son cadre promotionnel, tout en effaçant la ligne entre fiction et réalité.

Pour cela, le logiciel Watson est capable de lire une vidéo et d'en reconnaitre le contenu. A partir de là, un monteur (un vrai, fait de chair et de sang) travaille à partir des rushes sélectionnés par le logiciel.

Est-ce que le résultat peut se comparer au travaille d'un être humain? A vous de voir.



Les oeufs de paques chez Marvel



Depuis la sortie d'Iron Man, premier film de l'Univers Cinématographique Marvel, le studio a pris soin de dissimuler dans chaque film des œufs de pâques, des easter eggs qui sont des clins d'oeil au spectateur fans des comics.

En effets, ces petits cadeaux visuels et auditifs sont là pour amuser cette partie du public, et éventuellement donner des informations complémentaires. Cependant, même s'il les loupe, le spectateur non averti ne manque aucune information essentielle à l'intrigue. En effet, ces easter eggs n'apportent aucune information essencielle à l'intrigue, et se résument juste à être des anecdotes.

Mais le fan pur et dur prend un malin plaisir à décortiquer les films Marvel et à les trouver, aussi minimes soient-ils.

On se souvient ainsi, dans Iron Man, de la première apparition de Nick Fury, d'Iron Man se comparant au X-Jet des X-Men, du logo des Dix Anneaux, du colonel Rhodes regardant l'armure d'Iron Man et dire "plus tard", référence au War Machine qu'il sera dans le deuxième épisode...


Les snipers dans le cinéma américain



Cette semaine sort sur les écrans American sniper de Clint Eastwood, biographie de Chris Kyle, membre des Seals et tireur d'élite à qui on attribut 255 tirs mortels durant la guerre d'Irak.

Dans la culture américaine, le tireur d'élite est considéré comme un soldat courageux, figure de l’héroïsme moderne. Bien avant ce film, le cinéma américain s'est intéressé à de nombreuses reprises aux snipers, qu'ils soient réels ou fictifs, bons ou mauvais.


Stalingrad
Bien que le soldat Vassili Zaïdsev soit un authentique héros de l'armée soviétique, le major Erwin König semble être une invention soviétique à des fins de propagande.

Jarhead
L'histoire vraie d'Anthony Swofford durant la guerre du Golf.

Le hobbit vu par Guillermo Del Toro



La semaine dernière, c'était la sortie de La bataille des cinq armées, dernier volet de la trilogie du Hobbit.

La trilogie a été encensée ou éreintée, pour divers raisons. Mais il y a une question qu'on peut se poser : à quoi aurait ressemblé le film s'il avait été mis en scène par Guillermo Del Toro?

La question n'est pas anodine. Les deux cinéastes s'étaient rencontrés lors de la préparation du film Halo. Lorsque le projet a été stoppé, Peter Jackson, qui partait sur Tintin avec Steven Spielberg, proposa alors le projet du Hobbit à Guillermo Del Toro. Grand fan du livre, ce dernier accepta, et en aout 2008, le Hobbit entre officiellement en pré-production. Au début, il était question de raconter tout le livre en un seul film, et d'en faire un deuxième qui ferait le lien avec la trilogie de l'anneau.

Guillermo Del Toro commence alors les travaux préparatoires et prépare le visuel du Hobbit dans ses fameux carnets. Sa référence première est la première guerre mondiale, à la fois visuellement et thématiquement :
« Lire des livres et regarder des documentaires sur la Première guerre mondiale nourrit assez étrangement la vision que l’on peut avoir du Hobbit. Car je crois qu’il s’agit d’un livre né de l’expérience que la génération de Tolkien a subie pendant la Grande guerre, se trouver dans ce conflit et voir toutes vos valeurs s’effondrer ».

Le found footage

Cette semaine sort sur les écrans Rec 4, quatrième volet de la série d'horreur espagnol, et à ce jour un des films "found footage" le plus maitrisé.

Le found footage (pellicule retrouvée) est né véritablement avec Cannibal Holocaust de Ruggeo Deodato, film d'horreur qui retrace la recherche d'une équipe de journalistes partis faire un reportage sur une tribu cannibale dans la jungle amazonienne.


L'effet est immédiat : le réalisateur est accusé d'avoir torturé et tué ses acteurs, tant l'effet de réalisme est saisissant. Il est inculpé et doit prouvé au tribunal que ses acteurs sont bien en vie.

Si le procédé est peu à peu abandonné, il connait un regain de popularité avec le film Blair Witch Project (1999) qui reprend la même histoire (une équipe de reporters disparus dont on retrouve les derniers rushes). En parallèle, une campagne web virale nait et propose aux internautes d'aider à retrouver les reporters disparus.

Les présidents français au cinéma

En cette période d'agitation politique, où on se demande déjà qui ferrait un bon président, il est bon de se demander aussi : qui a déjà fait un bon président au cinéma?

Dans le cinéma américain, il est assez fréquent de représenter le président américain (réel ou fictif), voir de bâtir tout une intrigue autour de son personnage (film d'action, de guerre, romance, thriller...). De nombreux films, plus ou moins célèbres, existent (Air Force One, JFK, Le président et miss Wade, Nixon, 2012, Mars Attack, Independance day, Abraham Lincoln chasseur de vampiresDeep impact pour n'en citer que quelques uns).

En France, la représentation du chef de l'état est plus frileuse. Quelques longs métrages se sont essayés à filmer le président de la république, et parmi eux, seule une infime poignée s'est risquée à un personnage fictif. Cette timidité à l'égard du chef de l'état est assez étrange compte tenu que la France produit régulièrement des films politiques de qualité. Bien que l'age d'or du cinéma français engagé soit les décennies 60 et 70, il arrive encore que de temps à autres, un film pointe le bout de son nez.

Retour sur les présidents les plus marquants du cinéma français.

Jean Gabin - Le président (1961)
Le président
Jean Gabin incarne le président (fictif) Emile Beaufort, fortement inspiré par Georges Clemenceau. Ce président doit faire face à une grave crise ministérielle, et voit un ancien rival revenir avec l'ambition de prendre sa place. Il tente alors de le faire chanter.
Jean Gabin, par sa stature et son aura, restera sans doute LE président français au cinéma par excellence. Avec beaucoup de minimalisme, il donne vie à un personnage ambiguë, aussi maître que esclave du pouvoir.

Les suites édulcorées



Cette semaine, c'est la sortie de Ninja Turtles de Jonathan Liebesman, reboot de la franchise initiée dans les années 90.

Le premier, sorti en 1990 avait bien marché. Une suite était sortie l'année suivante, et fut un flop. Le motif : en voulant toucher un public plus large, les studios ont édulcorés le contenu, rendant la suite bien fade. Il y avait moins de violence, moins de complexité dans le scénario, un langage beaucoup plus soigné. Bref, il était moins adulte. Un troisième volet sorti un an après. Considéré comme le moins bon des trois, il est surtout vu aujourd'hui comme un film pour enfants à part entière.


Bref, les tortues ninja est un exemple de franchise gâchée car édulcorée au fur et à mesure.

Un logiciel qui monte tout seul



Depuis une trentaine d'années, le métier de monteur a connu une véritable révolution avec l'arrivée du numérique : le travail du stagiaire a disparu, le travail de l'assistant monteur s'est amoindri (une partie étant absorbée dans le logiciel). Le monteur lui-même a changé sa façon de travailler, du fait des nouveaux outils.

Aujourd'hui, une nouvelle révolution se prépare : la fin du monteur! Et oui, Disney prépare un logiciel qui serait capable de monter tout seul.

La filiale Disney Research développe un logiciel capable d'analyser des plans issus d'une même scène, et d'en reconstituer un plan en 3D à partir des éléments qui apparaissent dans les plans. A partir de cette carte, le logiciel propose un montage. Le logiciel peut identifier quel plan a la meilleure vue d'un sujet, et est capable de respecter les règles de base d'un montage (notamment la règle des 180°).

L'improvisation par Harrison Ford



Tous les acteurs, à un moment ou à un autre, ont déjà improvisé. Il est normal qu'un acteur ajuste son texte en fonction de son phrasé, de son rôle, ou même de son humeur du moment.

La particularité d'Harrison Ford, c'est que ses improvisations entrent dans l'Histoire du cinéma.

Souvenez-vous, dans Les aventuriers de l'arche perdue. A un moment, Indiana Jones se retrouve face à un adversaire qui s'empresse de lu montrer son habileté au sabre. Dans un geste nonchalant, Indiana Jones sort son revolver et lui tire dessus. A l'origine, il était prévu un combat à main et l'arme blanche. Mais Harrison Ford s'étant blessé sur le tournage, et trouvant la logique ridicule, suggéra qu'il n'avait juste qu'à sortir son arme et qu'il en fasse usage.



Le San Diego Comic Con International



Le Comic Con n'est pas exactement un festival. A l'origine, il s'agissait d'une convention des créateurs de comics. Ce n'est que plus tard qu'il devient le rendez-vous incontournable de tous les fans de science fiction et de fantastique.

Le San Diego Comic Con International nait en 1970 à San Diego, en Californie, à l'initiative de Shel Dorf et de quelques habitants de San Diego. Initialement baptisé Golden State Convention Comic Book, la rencontre a lieu au San Diego Convention Center. Ce n'est que plus tard qu'il est rebatisé Comi Con.

La manifestation prend beaucoup d'importance, dû notamment à l'importance des comics dans la culture américaine. Au fil des ans, le Comic Con se transforme, et attire tous les fans de science fiction et de fantastique, dans tous les domaines, aussi bien comic que cinéma, jeux vidéos, série TV...



Le foot au cinéma



Fin de la Coupe du monde de football oblige, on va parler aujourd'hui des films qui traitent du foot. Voici quelques films qui se sont risqués dans le domaine du sport le plus populaire en France. Certains sont réussis, d'autres non. Mais on peut constater une réelle envie de parler de ce sport, aussi bien de ses valeurs fédératrices comme de ses à côtés douteux.

A noter que parmi ces films, de vrais footballeurs professionnels jouent leur propre rôle.

Coup de tête (1979)
Un footballeur qui a été trahi par ses anciens amis et collègues purge une peine pour un délit qu'il n'a pas commis. Mais devant retourner sur la pelouse, il va en profiter pour assouvir sa vengeance.

Les personnages qui n'étaient pas là



Une fois n'est pas coutume, je vais vous parler d'un film avec un mois d'avance. Comme vous le savez, je m'accorde une pause blog tous les mois d'aout, histoire de recharger les batteries et de revenir boosté à bloc.

Donc, avec un mois d'avance, je voulais vous parler de LA grosse sortie du mois d'aout, j'ai nommé Les gardiens de la galaxie (sortie le 13 aout).

Il s'agit d'une bande de supers-anti héros Marvel associés pour lutter contre le crime à l'échelle du cosmos. Deux des personnages sont totalement virtuels : Rocket Racoon, un raton laveur qui aime les gros flingues (doublé en VO par Bradley Cooper) et Groot, un homme arbre qui ne sait prononcé qu'une phrase (doublé en VO par Vin Diesel).


Les films aux dialogues minimaux



Je vous avais déjà parlé de films dont le héros est anonyme. Comme quoi, il n'y a pas besoin de nommer son personnage pour lui donner une identité. De même aujourd'hui, nous allons voir des films avec des dialogues réduits au minimum. Idem, vous allez voir qu'il n'y a pas besoin d'avoir des tonnes de texte pour raconter une intrigue.

Voici donc 15 films dont les dialogues sont réduits au minimum.


Le ballon rouge (1956)
Un petit garçon trouve sur son chemin un ballon rouge, et commence avec une étrange relation, où le ballon peut être vu comme un complice ou comme le reflet de sa solitude. Un solide film poétique presque intégralement muet.

Days of futur past - 1ere adaptation



Cette semaine sort sur les écrans X-Men, days of the futur past, projet monumental qui vise à réunir dans un seul et même film deux générations de super-héros de l'écurie Marvel (on parle de 20 super-héros).

L'intrigue suit les mutants de la première trilogie, dans un futur apocalyptique, qui envoient un des leurs dans le passé. En effet, une guerre entre humains et mutants a éclaté, et les mutants, à bout de force, voient leurs semblables être décimés un à un. Le professeur X choisit alors Wolverine pour effectuer le saut temporel.

Le scénario suit l'arc narratif écrit par Chris Claremont et John Byrne, sauf que dans le comic, c'était Kitty qui voyageait dans le temps.